Doug Chiang, designer pour Star Wars

Doug Chiang designer de la postlogie et de la prélogie en cinématographie
et en télévision de  “Obi-Wan” Et “Ahsoka” “rebels” “Tales of the jedi” “the Mandalorian” et tout les effet numérique de Star Wars

Films & séries

Réalisateur, chef décorateur, designer
1990 : Ghost de Jerry Zucker (visual effects art director)
1991 : The Doors de Oliver Stone (visual effects art director)
1991 : Dans la peau d’une blonde de Blake Edwards (visual effects art director)
1991 : Terminator 2 de James Cameron (visual effects art director)
1992 : La mort vous va si bien de Robert Zemeckis (visual effects art director)
1994 : Forrest Gump de Robert Zemeckis (visual effects art director)
1994 : The Mask de Chuck Russel (visual effects art direction supervisor)
1995 : Jumanji de Joe Johnston (visual effects art director)
1999 : Star Wars, épisode I : La Menace Fantôme de George Lucas (design director, visual effects production designer)
2002 : Star Wars, épisode II : L’Attaque des clones de George Lucas (concept design supervisor)
2004 : Le Pôle Express de Robert Zemeckis (production designer)
2005 : La Guerre des mondes de Steven Spielberg (concept artist)
2006 : Monster House de Gil Kenan (concept design supervisor)
2007 : La Légende de Beowulf de Robert Zemeckis (production designer)
2009 : Le Drôle de Noël de Scrooge de Robert Zemeckis (production designer)
2011 : Milo sur Mars de Simon Wells (production designer)
2015 : Star Wars, épisode VII de J.J. Abrams (concept artist)
2016 : Rogue One: A Star Wars Story de Gareth Edwards
2018 : Solo : A Star Wars Story de Ron Howard
2019 : Star Wars, épisode IX : L’Ascension de Skywalker de J.J. Abrams

Réinventer la fonction : d’obsolète à innovant

On parle de l’aspect comique du détournement, mais ça ne se limite pas à ça. En design, il y a toujours de nombreuses contraintes à respecter – l’engagement environnemental en est souvent une. Aussi il est courant de voir un design créatif réutilisant des meubles ou outils obsolètes. C’est une manière de recycler un objet sans le démanteler, et, en décoration intérieure par exemple, un moyen de donner un thème et du cachet à un espace.

Quoique complexe, le détournement mêle littéralement l’utile à l’agréable, tant pour celui qui l’exerce, que pour le public qui le regarde. Il ne demande pas de compétences particulières, juste un esprit enclin à la plaisanterie et l’envie de créer quelque chose, et se retrouve aussi bien chez un particulier que dans de grandes entreprises ou sur les territoires publics. Il est un peu la touche légère mais bienvenue de malice qui manque à bien des espaces.

Un article écrit par

Lenny Deslandes
Stagiaire

Chaque année, les étudiant·e·s s’essayent à l’écriture d’un article plus ou moins long, plus ou moins étoffé, sur des sujets plus ou moins connus du monde du Design. Initiation en situation réelle, nous publions ici les propositions